- La réduction des émissions de contaminant sonore à hauteur maximale de 60 dBA LAFmax(1sec)(*) avec -5 dB supplémentaires pour les basses fréquences (respect des articles 19.1, 19.2, 19.3 et 20 de la LQE)
- L’adoption d’un système de crédits bruits (comme les crédits « carbone ») sur le modèle australien (10 crédits annuels de + 5dB pour 4 heures).
- Un accord durable qui ait force de loi, assorti de pénalités financières
- Une règlementation provinciale de la pollution sonore événementielle, avec des normes qui fixent
- Un nombre maximal d’heures de pollution sonore par an,
- Un nombre maximal d’heures par jour,
- Un nombre maximal de jours consécutifs,
- Un nombre maximal de fins de semaine consécutives.
- Une exigence d’études d’impact du climat sonore pour les installations afférentes aux événements
- Une meilleure répartition des événements sur le territoire
- La prise en compte du coût des externalités négatives de la pollution événementielle dans les bilans économiques des événements
- Des sanctions sévères en cas de non-respect des normes
(*) dBA LAFmax(1sec): son maximal mesuré sur toute période d’une seconde
Pour plus de détails
- Le mémoire déposé par Silence Saint-Lambert lors de la consultation publique du MSSS sur le bruit environnemental (septembre 2019)
- Le mémoire déposé par Silence Saint-Lambert lors de la consultation publique de l’OCPM sur l’avenir du Parc Jean Drapeau (septembre 2018)
- Les demandes des citoyens de Saint-Lambert (juin 2018).
- Le modèle des « crédits bruits » australien